Bilan de la mobilisation du samedi 17 janvier

Sur Toulon (83 Var), je dirais environ 200 a 300 personnes =S

Alors que la manif qui a eu lieu 2h auparavant en soutient au peuple palestinien et pour la paix au Proche Orient a réunis environ 1 000 personnes avec un étonnat dispositif policier, 1 car de CRS, 1 fourgon cellulaire, 4 fourgons de CRS, 10 flics en civils, une dizaines de voitures de nationaux, aucun incidents a déplorer

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Dépêches de l'Education du Samedi 17 janvier 2009

Manifestation à Toulouse pour la défense du service public d'éducation

De 2.000 à 2.600 personnes, selon la police et les organisateurs, ont manifesté samedi à Toulouse pour "défendre le service public d'éducation" et demander notamment l'arrêt des suppressions de postes dans l'enseignement.

Enseignants, parents d'élèves, lycéens, étudiants et militants de plusieurs syndicats enseignants et partis politiques, dont le PS, le PCF et le NPA, ont défilé dans les rue du centre ville derrière une banderole "Pour la défense du service public d'éducation", a constaté un journaliste de l'AFP.

D'autres banderoles, telle "Réforme Darcos = école en danger", affirmaient l'hostilité des manifestants à la politique du gouvernement dans le secteur de l'éducation. Ceux-ci ont notamment scandé "Non, non, non à la casse de l'école publique", "Qui sème la galère récolte la colère" ou "On veut du fric pour le service public".

Christian Belinguier, secrétaire départemental du SNUipp-FSU, a dénoncé "la logique du ministre de l'Education, qui est extrêmement néfaste pour l'école de demain", selon lui. "Les suppressions de postes et les remises en cause budgétaires rendent les conditions quotidiennes de l'école publique bien plus difficiles", a-t-il déclaré à l'AFP.

"Nous ne sommes pas d'accord avec le démantèlement de l'école publique", ont pour leur part affirmé Marie-Christine Palous et Catherine Julien, deux enseignantes de l'école maternelle Saint-Jean à Toulouse, portant un panonceau avec les mots: "Rachida, Fadela, Rama peuvent dire merci à l'école publique laïque".

"Le ministre sous-estime le rôle des écoles maternelles. Avec sa réforme, mon fils ne pourra plus aller en maternelle, c'est inacceptable", a déclaré de son côté Julien Klotz, un ingénieur aéronautique de 36 ans venu avec son enfant participer à la manifestation, en tenant son vélo sur lequel était accrochée une pancarte affirmant "Sarko zigouille nos valeurs, liberté, égalité, fraternité".

Bilan comuniqué pendant la manif à lorient...par les nbreux syndicats presents

Vannes (56) =>850
Lorient (56) =>750

plutôt fièr ^^

Les chiffres sont rabaissés, je trouve ...

Citation :

Ouest France:

Enseignants, parents, lycéens et étudiants manifesternt, ce samedi, un peu partout en France, pour "défendre le service public d'éducation" et demander l'arrêt des suppressions de postes. Manifestations à l'appel d'un collectif réunissant les principales fédérations de l'Education. Ce mouvement se greffe sur sur fond de malaise persistant entre le monde de l'éducation et le gouvernement, tandis que les réformes du ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, passent mal, comme l'évaluation des CM2, prévue lundi 19, les 734 000 élèves de la dernière classe de primaire. Le Mans : des parents d'élèves passent l'évaluation des CM2 Au Mans, 67 parents d'élèves représentant 21 écoles, encadrés par trois instituteurs à la retraite, ont rejoint en rangs par deux une salle d'examen de l'école Marceau pour passer les modules d'évaluation trouvés sur l'internet. "Sur 70 exercices de maths, un seul est un problème à résoudre. On demande en fait aux enfants de restituer bêtement un savoir", explique lamère d'une élève de CM2, qui dénonce des tests "basés sur des notions apprises par coeur et non pas sur une capacité d'analyse". Il s'agit, sleon cette mère, d'une "évaluation-sanction incohérente réalisée en janvier alors qu'elle porte sur le programme de toute l'année". Toulouse : plus de 2 000 manifestants Ce samedi, des manifestations ont eu lieu ou son prévues dans de nombreuses villes. A paris, le cortège se rassemble à parti de 14 H 30. A Toulouse, de 2 000 à 2 600 personnes, selon la police et les organisateurs, ont déjà défilé. La Roche-sur-Yon : 300 personnes Environ 300 parents, professeurs et lycéens ont manifesté en fin de matinée, place Napoléon, à La Roche-sur-Yon. Ils ont affiché leur volonté de « défendre le service public d’éducation » contre la réforme Darcos. Plusieurs se sont allongés devant la mairie (sur des bâches) pour montrer « ce que cela veut dire de supprimer des effectifs ». Geste symbolique, mais impressionnant. Lannion: environ 200 manifestants Un discours unitaire, une marche et une réception en mairie : c’était le programme du rassemblement pour la défense de l’Éducation nationale samedi matin à Lannion. Environ 200 manifestants, dont de nombreux élus, ont pris part à la manifestation. "Pas de soldes à l’école", scandait le cortège. Près de 300 manifestants à Landerneau Près de 300 manifestants ont répondu ce matin à l'appel du collectif "Une école, notre avenir", qui dénonce la politique éducative du gouvernement. Parti de la place du marché, le cortège a fait une halte devant la permanence du député Jacques Le Guen avant de revenir place du Géneral de Gaulle. Professionnels de l'éducation et représentants syndicaux ont ensuite échangé avec le public présent au marché sur les sujets qui suscitent leur colère. Plus de 200 manifestants dans l'Orne Ils étaient une bonne centaine à Alençon et autant à Flers. Plus de 200 personnes ont manifesté ce matin dans l'Orne contre les réformes dans l'Éducation nationale et les mouvements d'éducation populaire. Les manifestant dénoncent les suppressions de postes. Plus de 500 manifestants pour l'éducation à Rennes Vers 11h ce samedi matin, plus de 500 manifestants, enseignants, étudiants, parents d'élèves, ont commencé à défiler à partir de la gare de Rennes. Avec comme slogan principal "non aux suppressions de postes", le cortège a traversé la ville jusqu'à la place de la Mairie. 500 personnes à Vannes Ce samedi 17 janvier, à 11h, près de 500 personnes se sont réunies devant l'inspection académique de Vannes à l'appel des syndicats de l'enseignement pour protester contre les suppressions de postes dans l'éducation . Le cortège a défilé dans les rues jusqu'à la préfecture. 250 manifestants à Morlaix Le report de la réforme du lycée n'a pas convaincu les défenseurs de l'école publique. Quelque 250 lycéens; enseignants et parents d'écoles, collèges ou lycées ont défilé ce matin à Morlaix pour le maintien d'un système éducatif de qualité. Lorient : 700 manifestants pour l’école publique 700 manifestants se sont rassemblés à 11 h, ce samedi, devant la sous-préfecture de Lorient pour la défense de l’école publique. Ils ont ensuite défilé en centre-ville. Dans le cortège, l’école maternelle de Kerliven, à Hennebont, menacée de fermeture. Syndicats de l’Éducation nationale, associations employant des enseignants, parents d’élèves, tous réclament le rétablissement des 13 500 emplois que le gouvernement prévoit de supprimer à la prochaine rentrée scolaire.

A l'ouest, ils sont toujours à la pointe mais c'est quand même moins que prévu. A Rennes surtout!

De retour de la manif de Montpellier. Cortège jeunes d'une cinquentaine de personnes, assez décevant, parfois, niveau sonore, surtout sur la fin :] Sinon 3500 personnes selon les syndicats, un peu moins selon moi, malgré une très forte mobilisation des parents ! Les enfants de maternelle faisaient un boucan pas possible par contre : "Darcos t'es fouttu, on est tous dans la rue" respect A part ça le mot pour la grève générale du 29 janvier est bien passé

Je dirais entre 500 et 1000 manifestants à Nice...dans un climat de tension, plusieurs fachos sont venus aux abords du cortège, certains ont tenté de provoquer directement de jeunes manifestants...

A Nantes 4000 manifestants, la manif à duré 50 minutes et s'est ensuite divisé pour permettre au soutient de gaza de manifesté :S

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Dépêches de l'Education du Samedi 17 janvier 2009

De 4.500 à 8.000 manifestants à Paris pour "investir dans l'éducation"

De 4.500 à 8.000 personnes, selon la police ou les organisateurs, ont manifesté samedi à Paris pour réclamer un "investissement dans l'éducation" et dénoncer les suppressions de postes d'enseignants.

"L'école n'est pas une charge à réduire, c'est un investissement pour l'avenir", pouvait-on lire sur une large banderole de la fédération de parents d'élèves FCPE d'Ile-de-France, alors que les parents étaient nombreux dans le cortège qui a défilé de République à Richelieu-Drouot.

"En temps de crise, ce serait plus logique de surinvestir dans l'éducation que de désinvestir", a déclaré à l'AFP le président de la FCPE, Jean-Jacques Hazan.

"C'est ce que font les principaux pays de l'OCDE, en particulier les pays du nord de l'Europe, et c'est ce que (le président élu américain) Barack Obama a proposé", a-t-il fait valoir.

"Le principal motif de mobilisation est la question des suppresions de postes (13.500 prévues en 2009). Même si le gouvernement a un peu bougé, nous voulons un moratoire", a souligné le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri.

"C'est un journée intermédiaire avant celle du 29 janvier", qui sera une journée d'actions interprofessionnelle, "mais cela montre que la mobilisation est toujours là", a-t-il ajouté.

Des manifestations étaient prévues samedi un peu partout en France à l'appel d'un collectif regroupant syndicats d'enseignants, parents d'élèves de la FCPE, organisations lycéennes, étudiants de l'Unef et mouvements pédagogiques.

A Marseille, 500 à 2000 personnes, selon la police ou les
organisateurs, ont manifesté aujourd'hui en début après-midi dans le
centre de la ville pour la défense de l'éducation.
Enseignants, parents d'élèves, lycéens et syndicalistes ont défilé derrière des banderoles proclamant "Non à la politique du chiffre dans l'éducation nationale" ou "Enseignants en colère."


Sur marseille sa repart enfin

4500 à 8000 manifestants à Paris.

Plus de manifestants ce jour à Paris, que jeudi dernier, mais bien moins de lycéens... Ce fut surtout une manifestation qui rassemblait, profs et parents d'élèves, avec une minorité de lycéens... Plutôt décevant...

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Dépêches de l'Education du Samedi 17 janvier 2009

Education: 50.000 à 60.000 manifestants en France selon les organisateurs

Entre 50.000 et 60.000 personnes ont défilé samedi un peu partout en France pour "défendre le service public d'éducation" et contre les suppressions de postes, a indiqué à l'AFP le syndicat SNUipp-FSU au nom des organisateurs de cette journée de manifestations.

Aucun chiffre national n'a encore été communiqué par le ministère de l'Intérieur.

Les manifestants étaient à Paris de 4.500 selon la police à 8.000 selon les organisateurs, et autant à Lyon, entre 4.000 et 8.000 selon les sources.

Ils étaient aussi 2.500 à 4.000 selon les sources à Nantes, 2.100 à 2.500 à Grenoble, 2.000 à 2.600 à Toulouse, 1.900 à 2.500 à Bordeaux, 500 à 2.000 à Marseille, 800 à un millier à Rennes, 370 à un millier à Angoulème, ou encore 1.000 selon la police à Clermont-Ferrand.

Des défilés de plusieurs centaines de personnes ont également eu lieu dans des dizaines d'autres villes de France.

Les manifestations étaient organisées par un collectif regroupant syndicats d'enseignants, parents d'élèves de la FCPE, organisations lycéennes, étudiants de l'Unef et mouvements pédagogiques.

Le mans je dirais environs 1000 manifestants , très bonne journée!

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Dépêches de l'Education du Samedi 17 janvier 2009

Education : 44.000 manifestants dans 130 cortèges (ministère de l'Intérieur)

Cent trente manifestations pour "défendre le service public d'éducation" et contre les suppressions de postes ont rassemblé dans le pays un total de 44.000 personnes, a indiqué en début de soirée le ministère de l'Intérieur.

Les organisateurs ont de leur côté dénombré entre 50.000 et 60.000 personnes dans les rues, selon le syndicat SNUipp-FSU s'exprimant au nom de tous ceux (syndicats enseignants, lycéens, étudiants de l'Unef et parents d'élèves de la FCPE) qui avaient appelé à cette journée de manifestations.

Les manifestants étaient à Paris de 4.500 selon la police à 8.000 selon les organisateurs, et autant à Lyon, entre 4.000 et 8.000 selon les sources.

Faut corriger les chiffres pour Nice j'avais du fumer la grosse moquette...500 selon les syndicats...

60 000 manifestants.. selon les syndicats.. 130 cortéges...

ça fais pas énorme..

Non en effet. Mais je suis désolé mais à Paris il me semble qu'on était comme même plus que 8.000. Je me demande comment il peuvent dire ca alors qu'on ne voyait pas le début, ni la fin de la manif. Enfin bref, ne lachons rien, surtout le 29.

moi je trouve que les lycéens étaient moin nombreux que les profs et parents ...

Oui, mais le 29 remotivera du monde, enfin esperons et c'est a nous tous de convaincre un maximum de monde y compris de jeunes de sortir dans les rues avec nous.

Oui mais le 29, les médias ne parleront pas des jeunes même si ils y mettent de la bonne volonté. Je suis près à le parier!

"Prêt" à le parier!
J'en ai déjà eu des échos.