COMITÉ DE RÉSISTANCE CITOYENNE | FORUM Notre forum héberge depuis 2007 les discussions des Coordinations nationales lycéennes, lors des mouvements lycéens, indépendamment de tout parti, syndicat ou courant politique particulier. |
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| Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) | |
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| Total des votes : 15 | | |
| Auteur | Message |
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Animateur Administrateur
Nombre de messages : 9064 Age : 33 Ville : Grand Ouest Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 16:54 | |
| Incroyable mais vrai ! C'est au détour d'une page internet gérée par l'ennemi que je découvre une affiche étrange.Jusque là, pas grand chose ne nous permet d'identifier les auteurs de l'affiche. Qui est donc l'"Action Française Lycéenne". Une enquête s'impose. Premier réflexe, regarder sur wikipédia : - Citation :
- L’Action française lycéenne (AFL) était une organisation politique d'extrême droite royaliste et nationaliste, branche lycéenne du mouvement Restauration nationale.
L’AFL a été créée par Sylvain Roussillon en octobre 1988. Cette structure a connu un essor certain, atteignant presque 2000 adhérents en 1990. Elle a en tant que telle participé à toutes les grandes manifestations qui ont rythmé la vie du royalisme français durant cette période (affaire Hélène Delavault, affaire Boudarel, bicentenaire de la Révolution, interdiction des défilés de Jeanne d’Arc, etc.).
Organisée par sections d’établissements scolaires, l’AFL était particulièrement implantée à Paris et en Région parisienne, à Lyon, à Dijon, au Mans, à Rennes, Grenoble, Orléans, Toulouse, Tours et Blois, etc. A son apogée (1990-1992), l’AFL comptait environ 250 sections, dont une au lycée français de Madrid.
À la rentrée scolaire 1991-1992, le secrétariat général fut assuré par Sébastien Lapaque. A la suite d'un article sur les monarchistes paru dans le quotidien Le Monde dans lequel il accusait le mouvement royaliste d'avoir rompu avec la vocation révolutionnaire des premiers Capétiens et d'être devenu "un musée du souvenir du pétainisme et de l'Algérie française", il fut exclu pour "dérive léniniste" par Pierre Pujo, président des Comités directeurs d'Action française. A partir de 1994, le secrétaire général fut assuré par Stéphane Tilloy.
Durement touchée par des querelles internes à l’Action française, partagée entre des combats menés à la fois contre les « gauchistes » et contres les militants du Front national et ceux du GUD, l’AFL commença alors à péricliter.
En 1997, les structures de l’Action française lycéenne fusionnèrent avec les structures étudiantes de l'Action française étudiante (AFE) liées au Centre royaliste d'Action française.
Lors dhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Action_fran%C3%A7aise_lyc%C3%A9ennees grandes grèves lycéennes de 1990, l’AFL s’était dotée d’une « branche syndicale », la Coordination autonome des lycées (CAL), dont une délégation fut à l’époque reçue au ministère de l’Éducation. Son mot d'ordre était clair, "Nous voulons des lycées autonomes", et son modèle l'organisation des collèges royaux dans le Paris du XVIIe siècle. À travers la CAL, l'AFL a également participée aux mouvements lycéens de l'automne 1998 et du printemps 2005, en se positionnant contre tout mouvement de grève de la part des lycéens.
L’AFL disposait d’un journal, qui lui a survécu par intermittences, Insurrection (revue), fondé en 1987 à Dijon par Sylvain Roussillon. Ce journal est aujourd'hui en lien avec Aspects de la France.
Depuis 2006, l'Action Française Lycéenne retrouve de petites implantations locales notamment à Saint-Etienne, Lyon ou Le Mans, toutefois le mouvement est toujours rattaché à l'AFE avec qui elle partage un bureau politique commun. >> http://fr.wikipedia.org/wiki/Action_fran%C3%A7aise_lyc%C3%A9enne Bref, après avoir quasiment disparu, l'AFL revient petit à petit. Un article datant de 2005 m'attire : - Spoiler:
Mouv' : Qui se cache derrière la Coordination autonome des lycées ?
Lors des mobilisations lycéennes contre la loi Fillon, les lycéens ont pu croiser, dans les manifestations, une banderolle signée Coordination autonome des lycées, corporative et indépendante (CAL). Cette organisation aux faibles effectifs, qui se veut « apolitique » sert en fait de paravent au Centre royaliste d'Action française dirigé par Pierre Pujo et héritier de l'Action française fondée par Charles Maurras. Ce n'est pas la première fois que les royalistes tentent de s'implanter chez les lycéens.
Constatant la carence de formation syndicale contre-révolutionnaire, la Restauration nationale (ex-Action française) se dote à la rentrée parlementaire de 1970 d'une structure spécifique capable de jouer un rôle coordinateur et de contrer les Comités d'action lycéens (CAL) nés en mai 1968 et l'Union nationale des comités lycéens (UNCAL) liée au Parti communiste. C'est la fondation de l'Union nationale des lycéens d'action corporatiste (UNLAC) 1 dirigée par Francis Bertin (délégué général et responsable du secteur lycéen de la Restauration nationale). « Les contre-révolutionnaires dans les lycées n'avaient aucune structure propre pour les recevoir : ils s'intéressaient uniquement à des revendications politiques générales, ils ne mordaient pas sur la masse lycéenne. » Au début était l'Unlac Le 27 juin 1970 se tient la réunion préparatoire regroupant une trentaine de lycées et collèges de Paris et de la région parisienne. Le but de l'organisation en gestation est double : « coordination dans les établissements des lycéens contre-révolutionnaires et (?) un rôle d'impulsion dans les luttes corporatives en milieu lycéen. » 2 Francis Bertin justifie le sigle adopté 3 : « D'une part, le mot corporatif désigne les buts spécifiques d'un milieu, si vous préférez les buts sociaux et, d'autre part, le mot corporatif a également un sens politique réactionnaire et c'est pourquoi nous l'avons choisi. » Dès sa naissance, l'UNLAC est confrontée à la rude concurrence de l'Union lycéenne nationaliste (ULN) lancée par Ordre nouveau. L'UNLAC réclame la fin de l'étatisme, l'autonomie, la décentralisation, l'intégration des lycéens dans la société, « car seule la gestion autonome conditionne l'autonomie réelle des facultés et des lycées » 4, la revalorisation des diplômes taxés « d'asssignats universitaires », les liens avec les enseignants et les parents d'élèves, la gestion régionale des facultés et des lycées, car cette gestion ne doit pas entrer dans le domaine de compétence de l'État. « Cette autonomie corporative » prônée par l'UNLAC et la Restauration nationale, « ces libertés universitaires » vont de paire avec les « libertés régionales ». En 1971, la crise du secteur jeune de la Restauration nationale et la création de la Nouvelle action française (aujourd'hui la Nouvelle action royaliste), dirigée par Bertrand Renouvin, mettront fin à l'aventure de l'UNLAC. la Coordination autonome des lycéens A l'automne 1990, la flambée lycéenne donne à la Restauration nationale une nouvelle occasion de développer une stratégie de rue, le retour d'un « royalisme de combat », un passage de la théorie à la pratique, s'inspirant des consignes de Charles Maurras, fondateur de l'Action française : « Nous devons être intellectuels et violents ! » Le royalisme redevient offensif : « conquête de l'intelligence par le recrutement d'une élite » et « conquête de la jeunesse » en « démarxisant les universités ». Le mensuel Insurrection (Action française lycéenne) résume cette stratégie : « La recherche, la discussion, l'émeute. » 5 A ces débuts, le mensuel lycéen, « organe de contestation des lycéens d'Action française », devient « organe de combat des jeunes insurgés royalistes d'Action française » : radicalisation dans la théorie et dans la pratique. En octobre 1990, les lycéens réclament de meilleures conditions d'enseignement, le recrutement des professeurs, l'allègement des effectifs, la restauration des locaux souvent vétustes, plus de sécurité dans les établissements scolaires et une meilleure représentation. Des manifestations s'organisent à Paris et en province. L'action française lycéenne (AFL) dirigée par Sébastien Lapaque (actuellement auteur et critique littéraire au Figaro), participe parfois, non sans heurts, avec le service d'ordre lycéen aux manifestations, dénonçant la tentative de récupération des lycéens par SOS racisme et la Fédération indépendante et démocratique des lycées (FIDL, proche du PS), la Jeunesse communiste et les Jeunesses communistes révolutionnaires. L'AFL lance une Coordination autonome des lycées (CAL) dirigée par Joëlle Parisot. Cette coordination est animée par des lycéens de la Restauration nationale mais sans apparition du sigle du mouvement politique. Il s'agit de ratisser large. Le même type de structure se met en place dans les universités via le Comité des libertés étudiantes (CLE) à Paris et en province (Dijon, Lyon, Rennes, Tours). Le 7 novembre 1990, l'Action française occupe le rectorat de Versailles et réclame la démission de Lionel Jospin (ministre de l'éducation nationale). Développer l'agitation, médiatiser les actions, renforcer l'implantation, tels sont les axes de la stratégie royaliste. Politiser, « royaliser » les manifestations et non pas se contenter de scander « Jospin, des sous ! », sinon les manifestations sont condamnées à l'échec et à la récupération. « Qui en effet, plus que nous, antidémocrates, peut s'opposer au lycée républicain, unitaire, égalitaire et tutélaire ? Personne (?). Nous serons en première ligne de la contestation pour crier Jospin démission ! » 6 La CAL, qui sera reçue par Lionel Jospin, publie un Manifeste « Dix points pour changer les lycées » 7. Si certaines revendications sont communes à l'ensemble du mouvement lycéen (effectifs, locaux), d'autres sont spécifiques et reprennent les analyses classiques des maurrassiens : dénonciation du rôle idéologique de l'enseignement : « Les profs nous endoctrinent », autonomie financière et pédagogique des lycées : « l'État hors des lycées », refus de l'égalitarisme, reconnaissance de « l'identité propre de chaque établissement » et opposition à la « sélection par l'argent » qui doit être remplacée par « une sélection par la valeur ». Certaines de ces revendications (autonomie, endoctrinement, contenu des enseignements) sont présents dans les programmes de mouvements concurrents comme l'UNI (Union nationale interuniversitaire) et le Front national de la jeunesse. L'étudiant d'Action française doit être « le moteur de la contestation ». Il faut donc s'implanter dans les universités, en lien avec l'agitation. D'où la création d'une structure syndicale, le Renouveau universitaire (RU) avec quelques succès (Malakoff, Dijon, Nanterre droit, Le Mans, Lyon II) et le développement de cercles dans les facultés (cercle Bainville à Assas, Geoges Bernanos à Malakoff, d'Estiennes d'Orves à la Sorbonne). Comme le déclare Emmanuel Moine (responsable étudiant), « il fallait chercher la réaction à l'intérieur de l'université gauchiste », d'où la confrontation entre l'Action française et l'extrême gauche en 1992 à la Sorbonne. La crise qui va traverser l'Action française en 1992/1993 met fin à ces velléités avec le départ des principaux dirigeants du secteur jeune (Nicolas Portier, Sébastien Lapaque, Nicolas Kessler, Jean-Christophe Buisson?) La génération Maurras s'est évaporée dans la nature. La CAL : le retour Essayant de se greffer sur les mobilisations lycéennes contre la loi Fillon, la Coordination autonome des lycées a tenté un come-back. Elle est dorénavant animée par Jean-Christophe Bertrand et toujours aussi « apolitique », dénonçant pêle-mêle la FIDL, l'UNL instrumentalisée par le PS, la JC et les JCR , voire même l'UNI qui soutient le projet Fillon 8. Totalement apolitique et indépendante ? La preuve est dans l'article d'Insurrection (relancé pour l'occasion) qui demande à Pierre Pujo (patron de l'Action française) de bien vouloir financer l'achat d'un nouveau mégaphone ! Après plusieurs tentatives, la CAL est tombée sur un os, lors de la manifestation du 15 mars 2005, et s'est faite virer par le service d'ordre lycéen. Elle s'est fendue d'un communiqué dont on peut apprécier la finesse, dénonçant « la scandaleuse agression » des « SO d'extrême gauche » qui « n'ayant pas de racailles à se mettre sous la dent, ces véritables milices fascistes s'en sont pris à la seule organisation lycéenne réellemet apolitique ». La CAL a publié un manifeste lycéen reprenant en gros les thèmes développés dans les années 1970 par l'UNLAC dont elle revendique la filiation. Vous avez dit apolitique et indépendante, quand les principaux animateurs de la CAL rêvent du retour de la monarchie et préconisent la lecture de l'½uvre de Maurras, fondateur de l'Action française et fervent admirateur de Pétain. Lycéens, soyez vigilants ! Iode 1 : se reporter à La Restauration nationale de Jean-Paul Gautier (édition Syllepse, 2002). 2 : débat entre F. Bertin (UNLAC) et N. Baby (CAL), La politique au lycée (Paris, 1970), édition Beauchesne, p. 13. 3 : idem page 14. 4 : idem page 97. 5 : Insurrection, n° 11, décembre 1990. 6 : Sébastien Lapaque, Insurrection n° 11 et Aspects de la France, août 1991. 7 : Insurrection, n° 11. 8 : Interview de Bertrand, Insurrection, numéro 53, mars 2005.
Et voilà donc l'extrême-droite royaliste dans nos lycées, certes marginalement mais tout de même ! Ils possèdent un blog qui mérite d'y jeter un coup d'oeil. Attention, ce n'est pas du second degré >> http://afe-blog.com/ Comme on dit, on en apprend tous les jours ! | |
| | | Animateur Administrateur
Nombre de messages : 9064 Age : 33 Ville : Grand Ouest Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 17:05 | |
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| | | Guillaume Membre hyper-actif
Nombre de messages : 2944 Age : 103 Ville : Montpellier Date d'inscription : 10/12/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 17:09 | |
| Curieux de savoir qui se cache derrière ça | |
| | | flo-cannois Visiteur habitué
Nombre de messages : 601 Age : 33 Ville : Cannes Date d'inscription : 11/05/2008
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 18:53 | |
| Au passage je recherche toujours les militants de l'AFL Cannes, qui se la pètent sur le net mais qui se planquent dans les bahuts privés et n'en sortent jamais... | |
| | | flo-cannois Visiteur habitué
Nombre de messages : 601 Age : 33 Ville : Cannes Date d'inscription : 11/05/2008
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 18:57 | |
| Ces débiles se permettent dans leur torchon d'attribuer une citation de Kropotkine à Maurras... | |
| | | Totor Invité
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 19:43 | |
| 271 débiles alors puisqu'il y a semble t-il 271 membres à Cannes. |
| | | Aurélien Visiteur habitué
Nombre de messages : 248 Age : 34 Ville : Paris Date d'inscription : 09/09/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Ven 19 Sep - 19:49 | |
| j'avais entendu parler de ce truc. Mais bon, faut-il s'attarder sur tous les groupuscules?? | |
| | | flo-cannois Visiteur habitué
Nombre de messages : 601 Age : 33 Ville : Cannes Date d'inscription : 11/05/2008
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Sam 20 Sep - 9:18 | |
| Peut pas y'en avoir 271 j'en ai pas croisé un seul en 3 ans, et pourtant j'ai cherché... Je veux décoiffer du royco moi ! Nan mais fantasmez pas ils sont absolument pas dangereux, ils vivent dans leur petit monde et ne menent jamais d'action de rue...surveillez plutôt les JI et autres petits groupuscules qui ont tendance à encourager certains lycéens à se promener avec lacrymos/points américains... | |
| | | Animateur Administrateur
Nombre de messages : 9064 Age : 33 Ville : Grand Ouest Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Sam 20 Sep - 19:39 | |
| Oh non, ils n'ont pas l'air dangereux du tout. Ils me font plus me marrer qu'autre chose Aurélien, on ne s'attarde pas sur les royalistes. Pour notre culture générale sur les mouvements lycéens, ça me paraissait pertinent d'en parler au moins une fois. Et puis, nous sommes en démocratie, alors ils ont le droit de demander le rétablissement de la monarchie. Si il y a bien une chose que je ne vois pas arriver c'est bien ça. Je pense qu'il y a un lien entre l'uni et l'afl, au moins à Angers, d'après cet étrange logo qui se trouve sur le groupe facebook local. Or, on apprend qu'une des villes où sont implantées les royalistes lycéens est... Angers (qui compte un grand château d'ailleurs). La question à se poser c'est comment peut-on demander le retour d'un roi de France en 2008 ? | |
| | | Tõtõ Visiteur habitué
Nombre de messages : 493 Age : 34 Ville : Nantes Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Sam 20 Sep - 20:20 | |
| Question de privilèges ^^ | |
| | | Animateur Administrateur
Nombre de messages : 9064 Age : 33 Ville : Grand Ouest Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Sam 20 Sep - 21:41 | |
| Vous me direz, vu l'état actuel des choses, on est un peu dans un système monarchique... au moins une monarchie élective (contrairement à ce que certains prétendent en conférence de presse, ça existe bel et bien). >> http://fr.wikipedia.org/wiki/Monarchie_%C3%A9lective Le mieux c'est cet article que l'on trouve sur le site de l'Action Française : Sarkozy, monarque républicain http://www.actionfrancaise.net/presse-editoriaux-edito2725.htm -------------------------------------------------------------------------- Les royalistes qui ont comme slogan "sors du troupeau" c'est quand même risible. Car si ils ont l'audace de coller leur affiche (ou de faire des pochoirs sur le sol), l'écrasante majorité des lecteurs ne se doutera pas de qui se cache derrière. Du coup, ce sera raté car leur propagande vise quand même au retour de la monarchie... à la base. En bonus, un article intéressant : http://www.raslfront.org/archives/07_09.html | |
| | | salamand Invité
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Mar 3 Fév - 19:36 | |
| Cet "étrange logo", c'est tout bêtement le blason de la Touraine (ce qui n'a rien d'étonnant à Angers)! |
| | | Animateur Administrateur
Nombre de messages : 9064 Age : 33 Ville : Grand Ouest Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Mar 3 Fév - 19:51 | |
| C'est vrai que dès qu'on parle d'Angers, à un moment où à un autre, la religion pointe son nez. Quoi qu'il en soit, c'est bien un symbole monarchique repris par une organisation politique et dans ce cas étudiante. C'est bien de rappeler parfois que l'UMP compte des monarchistes dans ses rangs et que ce parti a des liens avec des orgas monarchistes, particulièrement dans des régions comme la Touraine ou la Vendée. Après, vous pensez ce que vous voulez du retour du roi, la Ve étant un régime assez monarchiste. Merci salamand d'avoir fait ressurgir cette petite enquête | |
| | | joss56 Membre actif
Nombre de messages : 1693 Age : 34 Ville : Pontivy Date d'inscription : 02/12/2008
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Mar 3 Fév - 23:52 | |
| putain ça fait peur, tout de même =S, ils sont encore au moyen âge ces gens là je crois... | |
| | | saint ch Invité
| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) Mer 4 Fév - 10:23 | |
| IL pense juste que un roi serait mieu (moi je pense pas) mais je respecte lol en meme temps je ne suis pas sur qu'il mette un monarchie en france |
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| Sujet: Re: Attention - les royalistes peut être parmi nous (AFL) | |
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