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 Communiqués - Ils veulent reconduire la grève

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MessageSujet: Communiqués - Ils veulent reconduire la grève   Communiqués - Ils veulent reconduire la grève Icon_minitimeJeu 15 Mai - 20:43

Voici plusieurs documents qui montrent que la grève reconductrice est possibles et même prévue :

SUD EDUCATION

Citation :
Tous en grève à partir du 15 mai !
vendredi 9 mai 2008


Dernière mise à jour 11 mai 2008

Non ! La suppression de 11200 postes dans l’éducation nationale n’est pas due à une baisse d’effectifs dans les écoles, les collèges et les lycées ! C’est une décision prise pour faire des économies sur le budget de l’état et mieux répondre aux directives européennes. Ces mesures drastiques ont de graves conséquences à la fois pour les enseignants et personnels des établissements mais également pour les élèves touchés de plein fouet :

Fermeture de classes dans le primaire et le secondaire
Augmentation du nombre d’élèves par classe
Suppression des BEP et d’une année d’études pour les élèves des lycées professionnels
Suppression des dédoublements de classes
Suppression d’options et d’enseignements
De nombreux remplacements non assurés par manque d’enseignants

Les différentes propositions de réforme de l’éducation sonnent le glas de l’éducation nationale :
Des nouveaux programmes dans le premier degré qui remettent en cause une pédagogie critique
La suppression de la carte scolaire qui va toucher les établissements des quartiers populaires, déjà en grand manque de moyens
Une plus grande autonomie et une mise en concurrence des établissements. Que vont devenir les programmes nationaux et les diplômes ?
Un financement au mérite qui renforce les inégalités entre établissements
Une privatisation de l’éducation nationale par un désengagement financier de l’état
La liquidation du statut de la fonction publique dans l’éducation

Toutes ces attaques sont la continuité d’une casse globale du service public d’enseignement, d’une sélection dans les lycées et à l’entrée des universités, déjà amorcée avec la Loi d’autonomie des Universités. Au delà, c’est une nouvelle offensive contre le monde du travail (baisse du pouvoir d’achat, casse des retraites, de la couverture maladie, du droit du travail…)

Le 15 mai, la fédération SUD éducation appelle à la grève unitaire dans l’éducation nationale. Elle se félicite de l’extension de l’appel à la fonction publique par certaines organisations dont Solidaires. C’est en effet toute la fonction publique qui est touchée dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) et du livre blanc (plan social de 200 000 suppressions de postes, casse des statuts, mise en concurrence…)

Mais une nouvelle journée ne suffira pas. La fédération SUD éducation et Solidaires appellent à construire la reconduction de la grève au lendemain du 15 mai sur la base des revendications des personnels, des lyceenNEs, des étudiantEs et des fonctionnaires.

Nous exigeons :
La création de tous les postes nécessaires dans le 1er degré et le 2nd degré et à l’université (profs, vie scolaire, orientation, médicaux, sociaux, TOS, remplacement, renforcement des moyens des RASED…).
La limitation des effectifs par classe, les possibilités de dédoublements et de travail en petits groupes d’élèves.
La titularisation sans condition de nationalité ni de diplôme de tous les personnels précaires.
L’abandon des réformes en cours dans la fonction publique, et le retrait des rapports qui les préparent.
L’arrêt immédiat de tous les processus centralisés de fichages informatiques des élèves.
Le maintien de tous les personnels de l’éducation nationale dans la fonction publique d’Etat.
Dans l’ensemble de la fonction publique, une augmentation uniforme des salaires, 300 euros pour tous.

>> http://sudeducation.org/article2492.html

CGT EDUC'ACTION VERSAILLES

Citation :
Depuis plusieurs semaines, élèves, enseignants et parents sont mobilisés contre la suppression de 11 200 postes d'enseignants à la rentrée 2008 (et la suppression programmée de plus de 80 000 postes pour les 4 années suivantes dans le cadre de la RGPP) et contre la généralisation du bac pro en 3 ans.


Dans le second degré, ce budget va amener une montée des effectifs par classe, des suppressions d'options, des difficultés accrues à l'inscription pour les lycéens. La généralisation du bac pro en 3 ans, au lieu de 4, a pour but principal de récupérer des postes dans les LP, elle entraînera des fermetures de BEP, la disparition de certaines filières et la déprofessionnalisation du bac pro… La multiplication des heures supplémentaires (d'ailleurs refusées par de nombreux enseignants) amène une dégradation des conditions de travail et donc une baisse de la qualité de l'enseignement. Bref, c'est la possibilité pour chaque élève de réussir au mieux sa scolarité et sa formation qui est remise en cause.


Le gouvernement n'a bien entendu pas oublié d'attaquer le premier degré. La suppression de 3 heures d'enseignement hebdomadaire et leur retour sous forme annualisée ne répond pas aux besoins des élèves en difficulté. La réforme des programmes marque une régression pédagogique, alors que les précédents programmes de 2002 avaient été élaborés en concertation et n'étaient pas remis en cause par les enseignants.


Et comme toutes ces réformes (en parallèle d'une baisse constante du nombre de postes aux concours et le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite) ne suffisent pas à supprimer près de 100 000 postes d'enseignants, le gouvernement a fait adopter par le Sénat la "loi de mobilité" qui consiste à considérer l'Education Nationale comme une entreprise privée : licenciement de fonctionnaires, affectation d'enseignants dans d'autres secteurs que l'Education (la Santé par exemple), embauche via les boîtes d'intérim, remise en cause du droit à la mutation…Ce n'est pas en détruisant le statut des enseignants que l'on valorise notre métier ! En parallèle le gouvernement a déjà annoncé un nouvel allongement de la durée de cotisation pour la retraite à 41 ans et n'annonce aucune revalorisation salariale.


Le gouvernement manie réformes imposées, annonces musclées, provocation et répression : Darcos est un spécialiste du genre, lui qui annonce un renforcement du service minimum la veille de la mobilisation du 15 mai et qui considère notre mobilisation comme une bouffonnerie ! Ses annonces auprès des organisations lycéennes sont soit des mesures déjà annoncées, soit des mesures à la marge ne changeant rien du tout !


C'est tout le service public qui est en danger !

Pour la CGT-Educ'Action Créteil-Versailles, seule notre détermination commune et la poursuite des mobilisations permettront de faire reculer le gouvernement qui entend poursuivre sa politique antisociale.

Nous appelons donc à la poursuite rapide de la mobilisation, un calendrier qui correspond à une mobilisation interprofessionnelle et intergénérationnelle.

Nous mettons par ailleurs au débat la question de la reconduction de la grève dès le 16 mai.

Postez aussi les communiqués que vous trouvez sur le sujet !
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MessageSujet: Re: Communiqués - Ils veulent reconduire la grève   Communiqués - Ils veulent reconduire la grève Icon_minitimeJeu 15 Mai - 20:47

Ils parlent aussi de la reconduction :

Citation :
APPEL À LA GRÈVE DU LYCÉE ÉVARISTE-GALOIS DE BEAUMONT-SUR-OISE

Nous, 17 enseignants du lycée polyvalent Evariste-Galois de Beaumont-sur-Oise (95), réunis en heure d’information syndicale mardi 13 mai à l’appel des syndicats SNES, SUD et FO, constatons que les revendications que nous avancions lors de la précédente grève nationale, le 18 mars dernier, n’ont reçu aucune réponse malgré le succès de cette grève (55% des enseignants du secondaire) et la poursuite de la mobilisation d’une partie des enseignants et des lycéens, en région parisienne puis en province :

Contre la suppression de 11 000 postes dans l’Education nationale,
qui se traduit dans notre lycée par la suppression de 6,5 postes d’enseignants, d’un poste de CPE et d’un à deux postes de surveillants : pour le rétablissement de tous les postes, indispensables à l’instruction de nos élèves et à la préservation de nos conditions de travail déjà fortement dégradées depuis des années ;
Contre la suppression de BEP,
qui conduit à de nouvelles suppressions de postes, à la suppression d’un diplôme reconnu sur le marché du travail, à l’exclusion du système scolaire d’une partie de nos élèves et à la dévalorisation du bac professionnel (préparé en 3 ans au lieu de 4 actuellement) ;
Maintien de l’organisation actuelle et défense du baccalauréat :
non au décalage d’une semaine du début des épreuves, aux délais de correction réduits et aux cours en même temps que les corrections ;
Pour l’abandon pur et simple du rapport Pochard et de toutes ses directives :
contre toute augmentation du temps de travail, contre l’annualisation-flexibilité des horaires, contre l’autonomie renforcée des établissements, contre l’augmentation des pouvoirs du chef d’établissement, contre le " contrat individuel " enseignant/établissement, contre la suppression, la régionalisation ou la dévaluation des concours, contre la bivalence, contre le salaire au mérite, etc. ;
Pour la titularisation des personnels précaires
, dont l’embauche par les rectorats suffit à prouver la capacité à travailler dans l’Éducation nationale et qui doivent donc bénéficier des mêmes droits que les titulaires : même métier, même statut !
Pour l’augmentation générale de nos salaires comme de ceux des autres travailleurs
: 300 euros pour tous, mobilisation dans l’unité public-privé !
Contre tout allongement de la durée de cotisation pour les retraites
, pour le retour aux 37,5 annuités pour tous.
Au contraire, le gouvernement Sarkozy-Fillon-Daracos, dont le parti a pourtant été battu aux élections et dont tous les sondages indiquent l’impopularité croissante, annonce de nouvelles attaques contre les salariés :

Projet de " révision générale des politique publiques " (RGPP),
prévoyant notamment la mise au chômage les fonctionnaires dont on aurait supprimé le poste et qui n’en auraient pas retrouvé ; au même moment, le gouvernement décide de durcir encore les conditions d’indemnisation des chômeurs, en voulant les obliger à accepter n’importe quel emploi sous peine de sanctions, voire de radiation ;
Remise en cause des droits à mutation,
notamment par le projet de suppression des commissions paritaires, qui signifierait la casse de nos droits collectifs et de l’égalité de traitement entre les agents ;
Diminution des heures de cours dans l’enseignement primaire
et, par conséquent, allègement des programmes ;
Décision de passer dès ce printemps à 41 annuités de cotisation
pour une retaire à taux plein ;
Plan " Hôpital 2008 ",
prévoyant la suppression ou l’amputation de leurs services de 240 établissements hospitaliers en France, dont celui de Beaumont-sur-Oise.
Répression accrue
contre les lycéens et enseignants mobilisés, contre les sans-papiers…

Un certain nombre d’entre nous ont poursuivi la lutte après le 18 mars, en participant aux journées de grève et de manifestation à l’appel de l’Assemblée générale d’Île-de-France, de certains syndicats et d’organisations lycéennes. Il s’agit maintenant de construire un mouvement national, tous ensemble, pour faire céder le gouvernement, pour l’empêcher de mettre en œuvre ces projets, pour obtenir la satisfaction de nos revendications. Pour cela, il est nécessaire de mettre en œuvre une stratégie capable d’agréger le maximum de collègues, de lycéens et de travailleurs : quarante ans après la grève générale de Mai 68, nous ne pourrons gagner qu’en combattant tous ensemble par la grève et la convergence des luttes !

C’est pourquoi nous décidons de :
Faire grève et appeler nos collègues à faire grève le jeudi 15 mai
(AG des grévistes à 8h 30 au lycée) ;
Appeler les syndicats à s’engager dans la construction d’un rapport de force décisif avec le gouvernement jusqu’à satisfaction des revendications,
ce qui implique la préparation et l’appel clair à la grève reconductible à partir du 16 mai. C’est ainsi qu’il sera possible d’aller vers une grève générale de l’Éducation, servant de point d’appui aux autres fonctionnaires, appelés à faire grève eux aussi le 15 mai, et aux travailleurs du privé, appelés également à se mobiliser pour les salaires et les retraites (22 mai).
Informer les parents sur la gravité de la situation,
les raisons et les modalités de notre mobilisation, en leur proposant de s’y joindre.
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MessageSujet: Re: Communiqués - Ils veulent reconduire la grève   Communiqués - Ils veulent reconduire la grève Icon_minitimeJeu 15 Mai - 20:56

Par la mailing liste de l'AG-IDF :

Citation :
Pourquoi la grève du 15 mai ?

A la généralisation des attaques, répondons par la généralisation de nos ripostes !
Dans l'Education nationale, depuis près de 2 mois en Ile-de-France, nous sommes entrés en lutte suite à l'annonce du gouvernement de ne pas renouveler un départ sur deux à la retraite dans la Fonction publique. D'ici 4 ans ce sont 200.000 postes qui devraient être supprimés dont 90.000 dans l'Education nationale. Ce vaste plan social de liquidation de la fonction publique signifie pour les usagers un accès dégradé aux services publics, et pour les personnels la précarisation de tous les emplois. La Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) et le « livre blanc la Fonction publique » sont très clairs quant à leurs objectifs : multiplication des contrats de droit privé, salaire au « mérite », évaluation pouvant déboucher sur le licenciement. L'objectif est de diviser les salariés et de mettre en minorité les fonctionnaires comme à la Poste, pour attaquer la stabilité de l'emploi et renforcer l'arbitraire des hiérarchies administratives.
La loi sur la mobilité des fonctionnaires permet la mise au chômage d'un fonctionnaire dont le poste est supprimé et qui refuse 3 emplois même à temps partiel dans des administrations différentes (!), ce qui favorisera le recours à l'intérim. Le poste fixe ne sera plus la référence : ainsi, dans l'éducation, le concours ne donnera plus droit qu'à l'éventualité d'un recrutement local.
Toutes ces mesures ont pour modèle le secteur privé. Pour faciliter ces réformes, et pour ne pas répondre aux exigences salariales, le gouvernement prétend imposer des heures supplémentaires. Alors que le chômage est élevé, comment admettre ces restrictions à l'accès à l'emploi des jeunes ? Travailler plus ? Les enseignants travaillent déjà, selon le ministère, 40 heures en moyenne, et donc 1 heure supplémentaire de cours équivaut à 3 heures de travail (préparation, correction...). Est-il acceptable qu'un postier allonge encore des nuits qui ruinent sa santé ? De même, que des infirmières déjà mises sous pression, travaillent plus, avec les risques que cela implique ?
En bref, il s'agit d'augmenter la productivité du travail en précarisant l'emploi et les rémunérations en détruisant les garanties collectives. Si une telle politique est inacceptable pour les salariés, elle a aussi des conséquences dramatiques pour les usagers. A l'hôpital, on mesure déjà le désastre : sous prétexte d'«économies » des structures de proximité sont fermées, les délais pour obtenir une consultation sont sans fin, les frais de santé sont en hausse (+16,8% en 2006-2007) pour les patients qui, du fait de l'incapacité croissante de l'hôpital public à répondre aux besoins, se tournent vers les médecins de ville et les cliniques (tous deux aidés par des fonds publics !).
La politique de Darcos vise un résultat analogue dans l'Education nationale. « L'autonomie » des établissements et des écoles favorise leur mise en concurrence et à terme la fermeture de certains, remplacés par des boîtes privées. C'est aussi la porte ouverte à la remise en cause de l'unité du service public d'éducation avec des enseignements différents à Neuilly et à Bobigny. Rentabiliser l'offre scolaire va conduire à supprimer des dédoublements, les options, rendre le bac plus sélectif.
Toujours par souci d'économies, les réseaux d'aide du primaire et les BEP sont supprimés, le Bac pro en 3 ans offre une année de moins d'études aux élèves, ce qui va pénaliser avant tout les élèves des milieux populaires.
Comme pour les retraites, le gouvernement prétend que les caisses sont vides et qu'il faut résorber la dette. Ces prétextes budgétaires cachent des choix idéologiques qui visent à remettre en cause les services publics et à accroître les profits des plus riches... La preuve, les économies espérées seraient de 7 à 14 milliards alors que le seul paquet fiscal de l'été dernier était d'un montant de 15 milliards. Il ne s'agit nullement de fatalités écono miques, mais de choix politiques. Imposons les nôtres : la satisfaction des revendications et des besoins sociaux !
La grève du 15 mai, exprimera le refus de toute la fonction publique de cette politique.
Pour faire reculer le gouvernement, nous devons dès à présent envisager de lui donner des suites, tous ensemble.
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