Proposez des modes d'actions

Rappel du premier message :

Voici un sujet pour que vous proposez des actions à mener partout en France. Il est ouvert pour que nous débations et dégageons de vrais bonnes idées.

Donc voici la liste des actions déjà envisagées :

• faire des blocus
  
• participer aux manifs
  
• faire un sitting
  
• distribuer des tracts
  
• faire une grève de la faim
  
• faire un boycott
  
• faire une opération escargot
  
• faire un point info dans les villes...
  

Mais vous avez obligatoirement d'autres idées, déjà mises en place ou non. Des actions qui peuvent avoir lieu dans lycées eux-mêmes sans être violents et illégaux.

vous croyez que les gens qui tiennent les peages vont vous laisser faire?

Ils l'ont fait dans mon lycée, je n'étais pas là mais ils n'ont pas eu de problèmes. Même quand la police est arrivée, ils ont négociés et ont continué.

Les péages gratuit sont complètement ridicules puisque l'entreprise qui gère les autoroutes est une entreprise privée.

Radicalistion du mouvement ??

Bloqué le ministère très bonne idée !!!

Sinon, c'est un délire avec des potes mais ça peut se faire si c'est très très bien organisé: notre action serait de bloqué Paris (périph, gare, aéroport....). Cela ferait très mal et montrerais notre colère !!!

(Mais c'est peut-être irréalisable...)

c est realisable si tout le monde vient sur paris

pendant le mouvement des facs, y avait eu une rumeur d'une manif centralisé sur Paris...
ça pourrait étre super cool un truc comme ça, genre pendant l'été quand personne est bloqué par les cours, ou pendant un bon moment du mouvement (quand les lycée/facs/etc sont assez bloqué pour pouvoir se permettre de se barrer quelques jours)

suffit de négocier avec les cheminots (genre les syndiqué CNT (enfin, c'est ce qu'on avait fait nous) pour avoir les prix les plus bas pour le transport

sinon il y a bloquer les inspection academique maut il faut des gens motivé a rester toute la journée devant les inspection academique

Oui, c'est ce qu'on a fait le 29 avril . Mais il ne faut pas avoir peur que des personnes partent au fur et à mesure .

Citation :

suffit de négocier avec les cheminots (genre les syndiqué CNT (enfin, c'est ce qu'on avait fait nous) pour avoir les prix les plus bas pour le transport

Nous avons réussi en négociant avec la SNCF ( respionsable départementaux je crois) à avoir les billet aller retour Nogent le rotrou - Le Mans - Nogent le rotrou et Nogent le rotrou - Chartre - Nogent le rotrou pour trois euros par personne, et on nous a signaler que ce tarif serait le meme lors des prochains mouvement. Vous pouvez dialoguer avec la SNCF et citer cet exemple

si les admin pouvait répertorié les moyens d'actions possible proposé par les lycéens ca serais cool ! parce que je pense que la première page n'est pas a jour

merci

(je veux bien le faire mais je suis pas admin )

Accrocher une banderole ou plusieurs sur des batiments en destruction.
Notre Pays s' écroule, l' éducation s' écroule, l' économie s' écroule, nos aquits s' écroulent....

https://www.dailymotion.com/relevance/search/dammarie%2Btours/video/x5h3oh_les-deux-tours-de-la-zup-a-dammarie_webcam


Mais bon c' est une action ultra dur a faire, puisque une semaine avant l' écroulement des tours, il y' avait des crs partout, des agents de sécurités faut etre un commando pour faire sa. ( a la greenpeace ^^ )

Citation :

Des enseignants : "Si la grève ne sert à rien, il faudra autre chose"
LE MONDE | 24.05.08 | 14h22 • Mis à jour le 24.05.08 | 14h28

Les principaux syndicats de l'éducation appelaient les enseignants à faire grève et à manifester, samedi 24 mai, dans toute la France, contre les suppressions de postes et la politique éducative du gouvernement. Alors que, dans le primaire, la protestation vise surtout les nouveaux programmes, c'est la question des postes qui mobilise les professeurs du secondaire. Témoignages.

Amandine Dumas, 27 ans, qui enseigne l'anglais dans un collège de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), apprécie son métier "dense, riche, difficile". Non syndiquée, elle s'oppose aux suppressions de postes, mais n'approuve pas "le "non" systématique dès qu'il y a une réforme". En avril, lors d'une journée d'action en Ile-de-France, elle avait fait grève et manifesté, au moment où son collège venait de découvrir sa dotation horaire pour la rentrée 2008-2009. Le 15 mai, journée nationale d'action, elle n'était pas gréviste et, ce samedi, elle ne participe pas. "Ça me lasse un peu. J'ai l'impression qu'on ne manifeste pas notre mécontentement comme il le faudrait", dit-elle, rêvant d'actions plus imaginatives ou plus résolues.

Professeur d'histoire-géographie au lycée d'Egletons (Corrèze), Olivier Jaulhac, 40 ans, était gréviste le 15 mai. Son syndicat, le Snalc - traditionnellement classé à droite mais qu'il juge "apolitique" - dont il est président académique, n'appelle pas à la journée d'action du 24. Mais sur les suppressions de postes, il juge le mécontentement "profond". Le ministère, explique-t-il, compense les postes supprimés par des heures supplémentaires. Résultat : "Des collègues qui effectuaient un service complet n'auront plus qu'un service partiel qu'ils devront compléter ailleurs. Mais les heures qu'ils perdent seront effectuées par d'autres collègues en heures supplémentaires. Ils vivent très mal cette injustice."

Rebecca Gaudenti, 27 ans, adhérente au Sgen-CFDT, enseigne les sciences de la vie et de la Terre (SVT) dans un collège du 14e arrondissement de Paris. Le 15 mai, elle n'était pas déclarée gréviste, n'ayant pas cours ce jour-là, mais elle a manifesté. Même chose ce samedi. Dans son collège, aucun poste n'est supprimé. Au contraire, des classes vont ouvrir à la rentrée. Elle se mobilise quand même, en soulignant que, dans sa discipline, la possibilité d'enseigner en demi-groupes est "cruciale". L'indifférence affichée par le gouvernement face aux grèves l'incite à se radicaliser : "Si ça ne sert à rien, il faudra bien essayer autre chose".
Luc Cédelle

>> http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/05/24/des-enseignants-si-la-greve-ne-sert-a-rien-il-faudra-autre-chose_1049126_3224.html

On sait toujours pas quoi mais "quelque chose"

Nous devons rénover nos modes de protestations en particulier pour lutter contre la réforme des secondes.

Le but est de mobiliser l'opinion public, c'est elle qui le fait le jeu surtout à l'approche d'élections.
En 2006, le gouvernement a cédé sur le CPE car il était devenu très impopulaire et que les élections présidentielles approchaient.
N'oublions pas qu'en juin 2009, il y a des élections européennes or Sarkozy veut que ce soit un triomphe sur le PS qui est en état de décomposition. En 2004, l'UMP n'avait que 16,6% loin derrière le PS. L'UMP voudra laver la défaite des municipales et affaiblir le PS qui est très divisé.
L'UMP ne peut donc pas se permettre d'avoir l'opinion public à dos.

Il nous faut donc éviter tous modes de protestations qui nous aliène le soutien de public.
Donc exit le blocus des établissements scolaires qui est très mal vu et fait passer tous les lycéens pour des glandeurs qui veulent sécher les cours.

Pour toucher l'opinion public, il faut se servir des médias, ce qu'avait très bien compris les intermittents du spectacle.
* On pourrait occuper des plateaux télés lors de journaux télévisés par exemple (le mieux serait un JT national). Occuper des plateaux de JT locaux sur France 3 serait une bonne idée.
* Un mouvement n'existe que s'il est médiatisé, il faut donc faire des actions spectaculaires comme des sittings géants, bloquer la circulation pendant un quart d'heure/ une demi heure pour tracter, envahir temporairement et pacifiquement des bâtiments de la fonction publique (inspection académique, préfécture mais là c'est risqué) etc...
* Il faut aussi essayer d'apparaître dans les journaux locaux avec des articles ou des éditoriaux.
* agissons comme les partis politiques en temps d'élection. Distribuons des tracts (de préférence avec une argumentation construite et sans fautes d'orthographe) sur la place publique et dans les boîtes au lettre.
* il faut rencontrer les gens concernés par la réforme.
C'est à dire les parents des collégiens, il faudrait organiser des rencontres avec des associations de parents d'élèves que ce soit la FCPE et la PEEP pour le public ou l'APEL pour le privé.
* Bien sur, il faut aussi sensibiliser son entourage.
* Enfin, si vous avez des connaissances qui rechignent à voter l'année prochaine pour les européennes ou des jeunes qui vont avoir 18 avant le 7 juin, dîtes leur d'aller voter et de s'inscrire sur les listes électorales, s'ils ne le sont pas.

Si les gens sont informés, ils seront aussi plus susceptibles d'aller manifester et encore plus si le mouvement est construit et crédible.

Tout as fait d'accord avec ce qui est dit ci dessus

Citation :

* Un mouvement n'existe que s'il est médiatisé, il faut donc faire des actions spectaculaires comme des sittings géants, bloquer la circulation pendant un quart d'heure/ une demi heure pour tracter, envahir temporairement et pacifiquement des bâtiments de la fonction publique (inspection académique, préfécture mais là c'est risqué) etc...

je suis très favorable à ce genre d'action, c'est comme ça que l'on arrivera à quelque chose (à mon avis).

il faudrait commencer à y réfléchir sérieusement pendant les vacs de noël, pour être opérationnel directement

Je suis content que mes propositions rencontrent un écho.

Pour les intermittents du spectacle, ça avait bien marché.

je pense qu'il ne faut pas occupé en tout les cas pas les chaine publique après TF1 par exemple ne nous gênons pas xd mais pour les chaine publique faut plutôt se faire invité parce qu'il sont plutôt avec nous que contre nous

De toute façon, je ne crois pas que ça les gênerait.
Lorsque les intermittents du spectacle étaient montés sur le plateau de Pujadas, cela avait fait de la bonne pub à France 2 qui avait donné la parole aux intermittents du spectacle contrairement à TF1 qui avait envoyé les gorilles.

comme moyen original, on a par exemple le bouchage ou blocage de serrures a l'aide de glu, de cure-dents ou encore d'allumettes coupées dans leur longueur et insérées dans les trous...
le but étant bien entendu de cibler des symboles tels que les banques, les assurances, les agences de pleins de trucs (ce sont des emplois parasites!!) et bien sur des établissements publics, et avec de l'organisation et du monde, y'a moyen de faire un "day off" pour un bon paquet de gens....

Il est aussi possible de créer des espaces d'expression libre, je m'explique : genre mettre des grands morceaux de tissu ou de papier là où il y a de la pub (arrets de bus??) et juste d'écrire quelque part : "EXPRIMEZ-VOUS !" et pourquoi de laissez pendre un stylo...

Dans le meme délire mais cette fois plus organisé et nécessitant plus de monde, on devrait pouvoir recréer une agora... c'est-à-dire de squatter devant un établissement public (une mairie?) et de commencer un débat en demandant l'avis aux gens, pour ce faire il faut bien sur un sujet de débat pertinent et général, je crois que l'éducation et l'avenir des jeunes rentre dans ces critères.. et le plus important, une écoute et un respect de l'autre même (et surtout) s'il n'est pas d'accord (sinon c'est vraiment un débat..)

Après y'a pleins d'actions artistiques possibles, théatre, musique, performances, spectacles, jongle... mais ça, faut des artistes...
en tout cas un blocage de rond-point, carrefour ou meme pont, c'est sur que ce serait plus agréable avec du gros son...
après ca passe par la communication l'organisation et un bon gros coup de motivation!!!!

Le blocus est assez efficasse aussi, on met de grosse chaine aux portes d'entrées, une fois ça avait été fait.
ça incite encore plus les autres à suivre le mouvement, Mais le probléme, c'est que beaucoup de personnes ne se préocupe pas par cette réforme, soit par ce qu'ils ont mal était mis au courent, soit car ils se disent que ça ne les concernent pas beaucoup.
Les opérations comme occupé les établissements/blocus, ou opérations escargots je penses que c'est assez efficace mais le coup du plateau télé, c'esp bien aussi, mais comme on l'a dit précédement, il faudrait pas passer pour des voyouts ou de vulgaires casseurs.

Les blocus nous aliènent le soutien d'une partie de l'opinion publique et sont fortement plébiscités par les élèves glandeurs.
C'est un moyen qui est devenu trop banal, il faut trouver des modes d'action plus originaux.

john galt ..ne critique ..propose .. ou critique mais PROPOSE

la manif n'a pas pas dimpact ..car les cours sont assuré ..le ministere n'a aucun echo puisque il ya cous.. tout va bien leur boulot est fait ..si les ges manifeste il s'en foutent..il on cas alé en cour =(

alors que le blocus à plus d'impact au nivau de l'Etat car cela nuit à l'education de la société futur et cela les atteint directement le coeur des valeur que défend le gouvernement

Juste un exemple: demain on organise un blocus filtrant ( ie ceux qui veulent vraiment rentrer rentre) et en parallele des ateliers: concours d'affiche, de chant et de poeme ( en référence au supresion d'option), aide au devoir... ça se déroulera dans des préfabriqués mis a disposition par le lycée, l'avantage, ceux qui ne souhaite pas rater de cours peuvent venir pendant les heures d'étude ou chosir les cours qu'ils ratent. De plus il y a une production.

Dites ce que vous en pensez...