Raphaël Membre hyper-actif
Nombre de messages : 3257 Age : 33 Ville : Grenoble et Bons en Chablais (74) Date d'inscription : 14/02/2008
| Sujet: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 9:56 | |
| Diffusons nos infos ! Et faisons le tous, les médias sont entrain de nous laisser tomber !
A GrandPuit, la raffinerie à été débloquée par la force : http://www.europe1.fr/France/La-raffinerie-de-Grandpuits-debloquee-de-force-294398/
A Brest le dépôt de bus est bloqué.
Au moins 20% des stations sont toujours à sec.
Décision explosive du tribunal qui autorise Total à fermer une raffinerie. http://www.lepoint.fr/economie/la-justice-autorise-finalement-total-a-fermer-la-raffinerie-des-flandres-22-10-2010-1253056_28.php | |
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Raphaël Membre hyper-actif
Nombre de messages : 3257 Age : 33 Ville : Grenoble et Bons en Chablais (74) Date d'inscription : 14/02/2008
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 10:03 | |
| Le gouvernement va aujourd'hui passer en force sur la réforme : http://www.lepoint.fr/economie/woerth-le-senat-votera-la-reforme-des-retraites-dans-les-heures-qui-viennent-22-10-2010-1252942_28.php - Citation :
AFP/PHILIPPE HUGUEN L'accès routier au marché d'intérêt national (MIN) de Lomme, près de Lille (Nord), était bloqué, vendredi 22 octobre au matin.
La perspective proche du vote de la réforme des retraites, prévu dans la soirée au Sénat, semble avoir fait monter la tension d'un cran, vendredi 22 octobre : les tentatives de blocage de dépôts pétroliers se sont multipliées dans la nuit, montrant la détermination des opposants à la réforme, tandis que les préfectures n'hésitaient plus à faire débloquer les barrages par la force, comme à la raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne), où les salariés ont été réquisitionnés et repoussés par les gendarmes, non sans heurts. Alors que la CGT dénonçait une "entrave à l'exercice du droit de grève" qui allait "créer un électrochoc" et notamment dans l'industrie, la situation pourrait se tendre encore davantage dans le raffinage après que la justice a autorisé vendredi matin la fermeture définitive de la raffinerie des Flandres près de Dunkerque, une affaire sans lien avec la réforme des retraites (voir fenêtre).
La justice autorise la fermeture de la raffinerie des Flandres Le tribunal de grande instance de Nanterre a autorisé vendredi Total à "ne pas procéder au redémarrage de l'activité" de la raffinerie des Flandres près de Dunkerque (Nord), contestant ainsi une décision rendue par la cour d'appel de Douai. "Les sociétés Total raffinage marketing et la raffinerie des Flandres peuvent mettre en œuvre leur projet [d'arrêt définitif]", a décidé le tribunal. La cour d'appel de Douai avait ordonné le 30 juin le redémarrage de la raffinerie, qui compte 367 salariés et environ autant de sous-traitants, dans un délai de quinze jours, pour défaut d'information des représentants du personnel. Toutefois, le tribunal estime que Total a bien "commis une entrave aux prérogatives des instances de représentation du personnel" mais note que le groupe a "conduit une procédure régulière sur le projet d'évolution de l'établissement" postérieurement à cette entrave. Sur le même sujet Radiozapping Déblocage des dépôts, la tension monte Eclairage Les blocages des lycées et des raffineries s'organisent aussi sur le Net Les faits La réquisition de la raffinerie de Grandpuits va "créer un électrochoc" Compte rendu Selon BVA, le soutien au mouvement social contre la réforme des retraites se renforce Compte rendu Woerth assure que la réforme sera votée dans la journée Edition abonnés Thématique : La délicate réforme des retraites Nouvelle journée d'émeutes à Lyon : "On est venu pour faire la guerre" Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ / mois + 1 mois offert
Ainsi, dans la banlieue nord de Toulouse (Haute-Garonne), ce sont quelque deux cents manifestants qui voulaient bloquer le dépôt de carburant Total de Lespinasse qui en ont été repoussés dans la nuit par les forces de l'ordre à l'aide de gaz lacrymogènes. Les manifestants, selon la secrétaire départementale de la CGT, Gisèle Vidallet, ont dû se retirer et ont établi un barrage sur une route proche. Le dépôt de carburant de Coignières (Yvelines) a été bloqué pendant trois heures et demie vendredi matin par une cinquantaine de militants de SUD et FO, avant que la police ne les délogent, sans heurts.NOMBREUSES ACTIONS DANS LES VILLES DE L'OUESTDes manifestants ont bloqué dès l'aube certains accès à de grandes villes de l'Ouest comme à Brest (Finistère), où tous les ronds-points qui mènent au port de commerce ont été bloqués par des manifestants réunis dès 5 heures, certains avaient allumé des feux de palettes et de pneus sur place. Un des barrages était en voie d'être levé en début de matinée après sommation des forces de l'ordre. Le dépôt de carburant du port, libéré par les forces de l'ordre jeudi, a aussi été bloqué par les manifestants, tout comme le dépôt de bus de la ville de Brest, alors que le ramassage des ordures est suspendu depuis jeudi. Des barrages ont aussi été constatés près de Vannes (Morbihan) sur la nationale 165, sur le périphérique ouest de Nantes (Loire-Atlantique) et sur une bretelle de sortie de l'A29 menant à la zone industrielle du Havre (Seine-Maritime) par le centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) de l'Ouest.A Cournon d'Auvergne, près de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), environ 500 personnes ont bloqué une plate-forme logistique : des grévistes, toutes professions confondues (commerce, construction, fonctionnaires, cheminots, etc.) ont installé des palettes et allumé des feux à l'entrée de l'entrepôt qui alimente notamment les magasins Auchan, Attac et Simply Market du Puy-de-Dôme, peu après 4 heures.Les accès routiers au marché d'intérêt national (MIN) de Lomme, près de Lille (Nord), ont été bloqués par une centaine de manifestants dès 5 h 30 vendredi matin, avant d'être délogés dans le calme par les forces de l'ordre vers 9 h 30. Selon la CFDT, des salariés du transport routier, de l'énergie, de la banque, et des cheminots ont participé à ce blocage. AFP/PHILIPPE HUGUEN Des CRS ont été envoyés à Lomme (Nord) pour faire lever le blocage du marché d'intérêt national de la banlieue de Lille.
Sur l'autoroute A22, une quinzaine de routiers ont mené une opération escargot à bord de voitures particulières. Partis de la frontière belge, ils ont rejoint l'A1 jusqu'à Phalempin, au sud de Lille. Cette opération a provoqué jusqu'à 12 kilomètres de bouchons, selon le CRICR. Les routiers prévoyaient de poursuivre l'opération escargot dans l'autre sens. Le CRICR signalait également une autre opération escargot avec une dizaine de véhicules sur l'autoroute A25 près de Lille, entraînant de fortes perturbations.En Picardie, les forces de l'ordre sont intervenues jeudi soir pour débloquer les accès à la zone industrielle d'Amiens-Nord, où des barrages filtrant bloquant les camions avaient été établis depuis mercredi. Toujours à Amiens, "des manifestants extérieurs à l'entreprise" bloquaient la sortie des bus vendredi matin, conduisant à la suspension du trafic, selon le réseau de transport Ametis. En Champagne-Ardenne, le dépôt d'autobus de Charleville-Mézières a été bloqué par des chauffeurs grévistes, celui de Châlons-en-Champagne l'était toujours dans la matinée, selon des sources syndicales tandis que l'usine d'incinération de déchets de Reims était bloquée vendredi matin par une quarantaine de membres de la CFDT transports.90 AMENDEMENTS ENCORE À EXAMINER Près de Bayonne, ce sont les accès au centre européen de fret (CEF), plate-forme logistique de transports routiers, ferroviaires et maritimes située à Mouguerre, sur la rive sud de l'Adour, près de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) qui ont été bloqués vendredi matin par une centaine d'opposants à la réforme des retraites. La direction du centre a indiqué son intention de s'adresser au préfet pour faire évacuer au moins l'un des accès de la plate-forme logistique, qui s'étend sur une centaine d'hectares et enregistre en moyenne plus de deux cents mouvements de véhicules par heure et accueille une quarantaine de wagons de fret quotidiennement.Les lycées restaient par ailleurs mobilisées, même s'ils étaient moins nombreux que jeudi, journée de mobilisation à l'appel des syndicats : selon le ministère, le nombred'établissements "perturbés à des degrés divers" par le mouvement des lycéens était vendredi à 9 heures de 185, soit 4,3 % des 4 302 lycées, en baisse par rapport à la veille. Le ministère en avait recensé 312 jeudi, 178 mercredi, 379 – un record – mardi, et 261 lundi. Les chiffres des syndicats, généralement plus élevés, n'étaient pas encore connus en fin de matinée. Entre cinq et dix universités étaient bloquées ou perturbées à des degrés divers vendredi matin, sur 83 au total, selon les sources et entre 3 et 5 établissements étaient fermés administrativement. Des étudiants de Paris-VIII ont indiqué leur intention de rejoindre les salariés en grève à la raffinerie de Grandpuits. | |
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Vianney Visiteur habitué
Nombre de messages : 384 Age : 36 Ville : Valenciennes Date d'inscription : 16/01/2009
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 11:04 | |
| On veut des négociations, on nous envoie la répression ... Quel beau pays.. | |
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Swann [UdS] Visiteur habitué
Nombre de messages : 244 Age : 37 Ville : Strasbourg Date d'inscription : 20/09/2010
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 11:26 | |
| Ouai mais le plus beau c'est que c'est eux qui te parlent de démocratie | |
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mlh De passage
Nombre de messages : 40 Age : 29 Ville : quimper Date d'inscription : 14/10/2010
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 13:01 | |
| Je crois qu'ils n'ont pas la même définition du mot démocratie... | |
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lekmy De passage
Nombre de messages : 32 Age : 33 Ville : corbeil Date d'inscription : 02/01/2009
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Ven 22 Oct - 16:57 | |
| Non c'est sur ! ils n'ont pas la meme definition du mot democratie que la notre ...... ne faudrait il pas leur réapprendre la definition du mot guerre social , ?? | |
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captainm De passage
Nombre de messages : 72 Age : 31 Ville : Haulchin Date d'inscription : 25/01/2009
| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre Sam 23 Oct - 11:38 | |
| Le tribunal de Melun a jugé comme atteinte au droit de grêve la riquisition des salariés de grand puit. Mais le prefet recidive | |
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| Sujet: Re: Mobilisation du 22 octobre | |
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