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 16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 !

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AuteurMessage
Raphaël
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Raphaël


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16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 ! Empty
MessageSujet: 16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 !   16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 ! Icon_minitimeJeu 30 Sep - 9:21

Pas de pause sur le front de la casse des services publics et acquis sociaux..

Publié le 30/09/2010 08:24 - Modifié le 30/09/2010 à 09:58 | Jean-Pierre BédéïBudget 2011 : ce que cela va changer pour vous

économie

16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 ! Zoom
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François Baroin, ministre du Budget et François Fillon, Premier ministre ont proposé un budget sévère en Conseil des ministres, hier./ Photo AFP

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Le projet de budget présenté hier en Conseil des ministres est marqué du sceau de la rigueur afin de réduire les déficits. Les ménages seront fortement touchés. La gauche dénonce des mesures « injustes et inefficaces ».Le gouvernement a frappé fort. Hier, il a présenté un budget 2011 de rigueur, voire d'austérité pour engager la France dans un effort sans précédent de réduction de ses déficits record, au prix de coupes dans les dépenses publiques mais aussi de hausses d'impôts.Élevé avant la crise, le déficit public (État, Sécurité sociale, collectivités locales) a explosé avec la récession et devrait atteindre 7,7 % du produit intérieur brut (PIB) cette année. « Nous allons entreprendre une réduction historique », a affirmé le ministre du Budget, François Baroin, qui a présenté le projet de loi de finances en Conseil des ministres. Objectif « intangible » : réduire le déficit à 6 % en 2011, un effort « jamais réalisé depuis 50 ans ». Sous la pression de Bruxelles et des marchés, Paris entend ensuite le ramener en 2013 à 3 % du PIB. En 2011, 7 milliards d'économies sont attendus grâce à la baisse des dépenses, qui s'élèveront au total à 286 milliards d'euros contre 319 cette année. Les dépenses de fonctionnement et d'intervention seront rognées de 5 %. Les collectivités locales subiront pendant trois ans le gel des dotations de l'État. Le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique continuera, avec à la clé 31 638 postes supprimés en 2011.Côté recettes, le gouvernement attend un total net de 271 milliards d'euros. La réduction des niches fiscales et sociales, ces exonérations qui amputent chaque année les finances publiques de 115 milliards d'euros, devrait rapporter 9,4 milliards l'an prochain et 2,1 milliards de plus en 2012.Le gouvernement a également annoncé un nouveau coup de rabot de 3 milliards par an en 2013 et 2014. « Il n'y a pas d'augmentation d'impôts. Les niches fiscales, c'est une dépense de l'État », a fait valoir François Baroin. Mais pour ceux qui bénéficiaient de ces avantages, la mesure équivaut à des hausses d'impôts.La gauche a condamné ce budget. Pour Martine Aubry, « c'est austérité sur tous les plans en touchant d'abord les classes moyennes et pas ceux qui ont véritablement de l'argent ». Au nom du PRG, Jean-Michel Baylet renchérit : « Les mesures fiscales annoncées sont globalement injustes et contre-productives en matière environnementale. L'austérité et la rigueur que le gouvernement veut imposer aux classes moyennes tout en préservant le bouclier fiscal pour les plus riches vont une nouvelle fois pénaliser la consommation des ménages et le dynamisme économique du pays. »Le chiffre : 45,4

milliards d'euros > Intérêts de la dette. Symbole de l'endettement historique de la France : les intérêts que l'État paye pour l'argent emprunté coûteront l'année prochaine quasiment autant que ce qu'il dépense pour l'enseignement scolaire. Soit 45,4 milliards d'euros en 2011, un chiffre en hausse de 6,9 %.« Il n'y a pas d'augmentation d'impôts. Les niches fiscales, c'est une dépense de l'État. » François Baroin, ministre du Budget.16 000 postes supprimés dans l'éducation nationale en 2011 ! Budget2011_cequichange
témoin : Jérôme Cahuzac (PS), président de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale.

« Efforts répartis inégalement »

Ce budget est-il de rupture et efficace comme l'affirme le gouvernement ?C'est un budget qui prévoit la plus forte hausse de prélèvements d'une année sur l'autre depuis 1995 et le gouvernement d'Alain Juppé. Les 10 milliards de hausses de prélèvements vont évidemment contribuer à réduire les déficits mais les efforts demandés aux Français sont très inégalement répartis. Et ce sont les classes moyennes qui, pour l'essentiel, vont devoir payer bien sûr la facture de la crise mais aussi la facture des politiques menées depuis quelques années.Le gouvernement pouvait-il faire autrement ?Demander un effort aux Français est inévitable. Cela suppose d'abord de rétablir la justice fiscale afin que les efforts soient justement et équitablement répartis.La réduction des niches fiscales est-elle une augmentation d'impôts ?La réduction des niches fiscales est évidemment une augmentation d'impôts. Le gouvernement prétend qu'il y a 10 milliards d'euros de niches fiscales rabotées ou apurées. C'est totalement faux. La hausse de la TVA sur le triple abonnement Internet-télévision-téléphone ce n'est pas une niche fiscale, tout comme la taxation de la réserve de précaution des compagnies d'assurance. Pour autant toutes ces mesures seront payées par les consommateurs, c'est-à-dire les classes moyennes.Les socialistes continuent à réclamer la suppression du bouclier fiscal, mais en soi cela ne suffit pas à réduire les déficits…Le bouclier fiscal est le symbole de l'injustice fiscale. Sa suppression ne suffirait pas à rétablir l'équité mais elle devrait être néanmoins un préalable à tout effort que l'on devrait demander aux Français.Recueilli par J.-P. B.Les gagnants et les perdants

Trois ministères voient leur budget en hausse.La Justice. Elle est la seule, avec les services du Premier ministre, à bénéficier de créations nettes d'emplois Avec 4,15 % de hausse, son budget atteint 7,128 milliards, l'accent étant mis sur la pénitentiaire et les juridictions. Il doit aussi considérer la réforme imminente de la garde à vue. Ce budget prévoit la construction de nouvelles prisons, la rénovation d'établissements vétustes, la création nette de 563 postes, le « renforcement de l'efficacité des juridictions », par des moyens technologiques, la construction de palais de justice ou l'augmentation du nombre de greffiers.L'Enseignement supérieur et la Recherche. Avec des crédits de mission s'élevant à 25,19 milliards d'euros,la recherche et l'enseignement supérieur sont « la principale priorité du gouvernement ».La règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ne s'applique pas ici. Les moyens supplémentaires serviront « à accompagner le passage » à l'autonomie des universités et à financer d'importants travaux immobiliers. Et dès la rentrée 2011, un dixième mois de bourse sera versé aux étudiants boursiers.La Culture. Les crédits du ministère de la Culture et de la Communication vont progresser de 2,1% en 2011, pour atteindre près de 7,5 milliards d'euros, soit 154 millions d'euros de plus qu'en 2010.Tous les autres ministères sont les perdants du budget. Enfin, les collectivités locales sont aussi victimes de cette austérité après que le gouvernement a décidé le gel des dotations de l'État sur trois ans. L'association des Régions de France a décidé de déposer un recours devant les « juridictions administratives compétentes ».Ménages : une facture de 4 milliards

L'impact des mesures fiscales pour les ménages contenues dans le budget devrait s'élever à 4 milliards d'euros.Emploi à domicile : le gouvernement supprime l'abattement de 15 points sur les cotisations patronales de Sécurité sociale proposé aux ménages déclarant leur employé au salaire réel.Immobilier : le crédit d'impôt sur les intérêts d'emprunt, mesure phare du « paquet fiscal », disparaît au profit d'un nouveau prêt à taux zéro élargi, réservé aux primo-accédants.Mariage : Fin des déclarations de revenus multiples l'année du mariage, du pacs ou du divorce.Hauts revenus : ils sont mis à contribution dans la réforme des retraites, via le relèvement du taux marginal de la tranche supérieure d'impôt sur le revenu (à 41 %), la hausse des contributions sur les stock-options, la suppression du crédit d'impôt sur les dividendes perçus par les actionnaires, ou encore l'augmentation des prélèvements sur les retraites chapeau.Coup de rabot de 10 % sur 22 niches : il s'agit de niches qui permettent de réduire l'impôt sur le revenu en faisant un choix d'investissement. Sont par exemple concernés le crédit d'impôt sur les équipements en faveur du développement durable, la réduction d'impôt au titre de certains investissements outre-mer ou de l'investissement locatif dans le neuf.Photovoltaïque : le crédit d'impôt sur les panneaux solaires est réduit de moitié.Assurance maladie : les médicaments remboursés à 35 % ne le seront plus qu'à 30 %, et le taux de prise en charge des dispositifs médicaux va reculer de 5 points.Le budget durcit également les conditions de prise en charge des patients en Affection de longue durée (dont les soins sont remboursés à 100 %). Enfin, le plafond de ressources pour bénéficier de l'Aide à l'acquisition d'une complémentaire santé (ACS) sera relevé en deux ans.Assurance : les assurances -vie multisupports seront soumises au paiement de la CSG et de la CRDS chaque année et non plus en fin de contrat.Fonctionnaires : 31000 postes supprimés

Sans faiblir, le gouvernement poursuit la baisse des effectifs de l'État, avec la suppression prévue de 31 638 postes de fonctionnaires en 2011. Même si le nombre de postes supprimés est légèrement inférieur à celui de 2010(-33 749), le projet de loi de Finances pour 2011 continue de réduire le nombre de fonctionnaires d'État via le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Après 100 000 postes supprimés entre 2007 et 2010 et les 31 000 prévus en 2011, l'objectif est d'atteindre sur trois ans (entre 2011 et 2013) plus de 97 000 suppressions. Le ministère de l'Éducation nationale est, comme chaque année, le ministère le plus touché, avec 16 000 suppressions de postes, comme en 2010.Juste derrière arrive le ministère de la Défense, qui perdra 8 250 postes, comme en 2010 aussi, et le ministère du Budget et des Comptes publics, amputé de 3 127 postes (contre 3 020 en 2010). Sont également concernés les ministères de l'Intérieur (-1 595), de l'Écologie (-1 287), de l'Agriculture (-650) et du Travail (-443), devant ceux de l'Économie (-273), des Affaires étrangères (-160) et de la Culture (-93).À l'inverse, le ministère de la Justice verra ses effectifs augmenter de 400 postes, et les services du Premier ministre de 55 postes.Enfin, sont épargnés le ministère de l'Enseignement supérieur et celui de l'Immigration et de l'Intégration, qui ne perdent aucun poste, tout comme celui de l'Aménagement du territoire (-1). Selon le gouvernement, 50 % des économies dues au non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite retourneront aux agents de l'État, pour un montant de 405 millions d'euros en 2011, sous la forme de mesures catégorielles.
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