CR délégation ministère manif 20 mars-communiqué SUD Lycéen

Citation :

Le ministère écoute

Quand entendra-t-il?

A l'issue d'une manifestation rassemblant plusieurs milliers de lycéens et d'enseignants, une délégation a été recue au Ministère de l'Education Nationale.

Elle comprenait cinq enseignants et cinq lycéens représentant la CGT educ'action, la CNT-FTE, SUD Education, SUD Lycéen, la FIDL, l'Assemblée Générale inter-lycées d'IDF et des établissements en lutte. Le ministère était représenté par deux personnes dont la responsable du bureau chargé des programmes d'enseignement pour le second degré qui a très justement remarqué l'absence de mixité dans la composition de la délégation.

Celle-ci n'étant pas habilitée à apporter des réponses à nos questions l'échange s'est borné à un strict exposé des revendications et inquiétudes.

Ont donc été transmises les revendications de l'AG inter-établissement de la région parisienne tenue le 18 mars:

• Refus des suppressions de postes et d’options, des heures sup., de la surcharge des effectifs, des bacs pro en 3 ans et de la suppression des BEP. Refus de la suppression de la carte scolaire. Création de tous les postes nécessaires (enseignants, vie scolaire, d’orientation, médicaux, sociaux, TOS).

• Refus des conclusions de la commission Pochard, du démantèlement de la fonction publique, de la suppression de la garantie d’emploi pour les fonctionnaires, de la précarité ; titularisation des précaires.



Les lycéens ont transmis leur inquiétude quand à la baisse de l'encadrement dans les lycées dits "difficiles".



En attente de réponses concrètes satisfaisants nos revendications la mobilisation doit continuer et s'amplifier.

Si j'ai bien compris, on a reproché qu'il y avait que des syndicats de gauche. Hé bien, cela veut dire qu'ils ne négocieront pas tant que des syndicats de droite ne se seront manifester.

ça peut aussi vouloir dire qu'il n'y avait pas de femme ...

c'est toto qui a la bonne interpretation. Et c'est pour ça que le communiqué dit qu'elle a "justement remarqué..."
Et puis il n'y a pas grand chose à négocier et surtout pas la répartition de la pénurie.